BOURQUIN & FRANCIOLI UNA MUSICA

Samedi 16 janvier 1993, 21h

Non classé

Les gens, ce qu’ils aiment bien, c’est quand ça se termine bien ! Faudra donc peut-être rembourser. Mais en dehors de la bouffe, tout n’est qu’épiphénomène, bruits des vastes chantiers croisant les ondes bondissantes, les voisins qui s’engueulent, un zoo en chaleur et quelques voix flûtées dans les marécages des oreilles communes. Ca va crapahuter bien gras.

A vous de comprendre ! Emouvez-vous ! Emouvez, bon Dieu ! Ratata ! Sautez ! Vibrochez ! Eclatez dans vos carapaces ! Fouillez-vous crabes ! Eventrez ! Trouvez la palpite nom de foutre ! La fête est là ! Enfin ! Quelque chose ! Réveil ! Allez salut ! Robots la crotte ! Merde ! Transposez ou c’est la mort ! Je ne peux plus rien pour vous ! Embrassez celle que vous voudrez ! S’il est temps encore ! A la bonne vôtre ! Si vous vivez ! Le reste arrivera bien tout seul ! Bonheur, santé grâce et fredaines ! Vous occupez par tant de moi-même ! faites-le marcher votre petit cœur ! Ce sera tout ce que vous y mettrez ! l’orage ou la flûte ! comme aux Enfers, comme chez les Anges ! Ou comme disait l’autre : « Van Gogh a inventé un peu de jaune quand le soleil a disparu. Faut chercher, mon vieux, faut chercher… ». FIN